Nous avons abordé dans un précédent article la résolution des messages codés alphabétiques. Vous allez pouvoir découvrir dans ce nouvel article comment décoder la plupart des
messages codés numériques. Il existe Plusieurs types de cryptages numériques. Nous allons voir ici les deux façons de faire les plus courantes.
Le premier type de codage ressemble étroitement aux codes alphabétiques, dans le sens où un mot-indice peut vous aider à les décoder. Par exemple, si je vous donne comme
indice « Cassis », cela voudra dire « K=6 », de même pour « Cassette », qui voudra dire « K=7 ». Je pense que vous avez compris le principe…
Il y a également « Détroit » : « D=3 » ; « Indienne » : « 1=N » ; « Sizaine » : « 6=N ». N’oublions pas le classique, « A=1 ». Il y a autant de possibilités que de lettres
dans l’alphabet. Elles n’ont cependant pas toutes des mots-indices, malheureusement ! S’il n’y a pas d’indice, il vous suffit, comme dans le codage alphabétique, de vous focaliser sur les
petits mots, qui seront plus faciles à interpréter. Ainsi, le « DE » donnera deux chiffres adjacents. Vous pouvez également regarder les débuts ou fins de mots. Il est très peu probable, pour
ne pas dire impossible, qu’un mot commence par deux mêmes lettres. Si vous voyez par exemple 22 ou 11 au début de mot, ne cherchez pas à quoi correspond le 2 ou le 1, mais plutôt le 22 ou la
11 ! Ca paraît simple dit comme ça, mais on n’y pense pas forcément une fois devant le message codé.
La deuxième façon de crypter utilise une grille de codage à deux entrées. Une lettre non utilisée est enlevée pour former cette grille (K, X, W, Z). Le code est alors composé
de chiffres et de symboles (ici, les chiffres romains). Avec la grille ci-contre, nous aurons par exemple II1 V3 IV3 V2 V3 I5 III4 pour BONJOUR.
Vous connaissez désormais 2 méthodes pour (dé)crypter les messages codés numériques ! Faites-en bon usage en créant ou résolvant des énigmes !
Anquêt'
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